Ma démarche en bande dessinée se résume en un parcours d’expérimentations et de questionnements. J’ai passé les trois dernières années à tenter de trouver mon style d’écriture et de dessin. Puis, j’ai finalement réussi à découvrir les thèmes qui me donnent envie d’écrire des scénarios et de créer des histoires. Ma production est alors assez hétéroclite, puisque j’alterne entre des histoires plus inquiétantes et des histoires plus cocasses. On remarque donc, dans mes projets, que je privilégie des thèmes qui me font vibrer et qui me font réagir. Il m’est ainsi plus aisé d’écrire ces histoires.
Mon travail balance souvent entre deux types d’histoires, soit le style de l’horreur et du suspense, et à l’opposé, les anecdotes personnelles et comiques. Pour ce qui est des thèmes qui se rapprochent plus de l’horreur, je tente toujours de m’inspirer de mes propres cauchemars ou bien de situations qui me feraient frémir d’épouvante. De plus, je découpe mes histoires de manière à créer des points forts, des moments de tension ou des rebondissements. J’utilise différents angles de traitement dépendamment du contenu de mes histoires. Pour mes anecdotes sur le service à la clientèle, j’aborde le tout avec un ton quelque peu méprisant pour appuyer ma critique sociale. J’essaie de faire briller ces chroniques, toutes tirées d’expériences vécues et de leur apporter un petit côté générique, où le lecteur peut soit s’identifier à ces situations ou bien ressentir de l’empathie. Par exemple, j’amplifie l’attitude exécrable de certains personnages pour dénoncer le manque de civisme des gens, leur manque de logique ou même l’extraordinaire bizarrerie du moment. Ainsi, la plus grande source de mon inspiration se trouve dans les émotions humaines. En d’autres mots, je m’inspire des peurs, de la colère, de l’incompréhension, des malaises et de toutes des choses qui font réagir les gens.
Puis, au niveau des œuvres qui m’ont inspiré, on retrouve des bandes dessinées telles que Beautiful Darkness, Through the Woods ainsi que des mangas dans le genre de Scumbag Loser, Tokyo Ghoul et Puella Magi Madoka Magica. La plupart de ces œuvres nous présentent des univers grotesques, voire mignons dans certains cas, mais ces derniers cachent des profondeurs et des réalités beaucoup plus sombres.
Pour moi, il est très important de présenter des dessins vivants et attrayants qui permettront à mon lecteur de plonger dans mes histoires. À mon avis, le dessin n’est qu’un moyen de supporter et de mettre en valeur mes histoires.
Avec ma production, je cherche donc à divertir le lecteur et à le transporter dans des mondes imaginaires. Je veux qu’il vive des histoires et que son imaginaire s’en retrouve stimulé. Je veux que mes histoires marquent sa mémoire à un tel point qu’il s’en rappellera longtemps après avoir fermé mon livre.
Mon travail balance souvent entre deux types d’histoires, soit le style de l’horreur et du suspense, et à l’opposé, les anecdotes personnelles et comiques. Pour ce qui est des thèmes qui se rapprochent plus de l’horreur, je tente toujours de m’inspirer de mes propres cauchemars ou bien de situations qui me feraient frémir d’épouvante. De plus, je découpe mes histoires de manière à créer des points forts, des moments de tension ou des rebondissements. J’utilise différents angles de traitement dépendamment du contenu de mes histoires. Pour mes anecdotes sur le service à la clientèle, j’aborde le tout avec un ton quelque peu méprisant pour appuyer ma critique sociale. J’essaie de faire briller ces chroniques, toutes tirées d’expériences vécues et de leur apporter un petit côté générique, où le lecteur peut soit s’identifier à ces situations ou bien ressentir de l’empathie. Par exemple, j’amplifie l’attitude exécrable de certains personnages pour dénoncer le manque de civisme des gens, leur manque de logique ou même l’extraordinaire bizarrerie du moment. Ainsi, la plus grande source de mon inspiration se trouve dans les émotions humaines. En d’autres mots, je m’inspire des peurs, de la colère, de l’incompréhension, des malaises et de toutes des choses qui font réagir les gens.
Puis, au niveau des œuvres qui m’ont inspiré, on retrouve des bandes dessinées telles que Beautiful Darkness, Through the Woods ainsi que des mangas dans le genre de Scumbag Loser, Tokyo Ghoul et Puella Magi Madoka Magica. La plupart de ces œuvres nous présentent des univers grotesques, voire mignons dans certains cas, mais ces derniers cachent des profondeurs et des réalités beaucoup plus sombres.
Pour moi, il est très important de présenter des dessins vivants et attrayants qui permettront à mon lecteur de plonger dans mes histoires. À mon avis, le dessin n’est qu’un moyen de supporter et de mettre en valeur mes histoires.
Avec ma production, je cherche donc à divertir le lecteur et à le transporter dans des mondes imaginaires. Je veux qu’il vive des histoires et que son imaginaire s’en retrouve stimulé. Je veux que mes histoires marquent sa mémoire à un tel point qu’il s’en rappellera longtemps après avoir fermé mon livre.
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